Le secteur économique de la Russie est en grande partie influencé par son secteur primaire. Plusieurs sociétés interviennent dans la gestion des ressources de ce secteur. Parmi elles, on remarque la holding UMMC qui occupe une place de choix. La holding UMMC, tout en opérant principalement sur le marché du cuivre, intervient dans l’exploitation de nombreuses autres matières.

Une société à la tête de l’exploitation des richesses naturelles

Le secteur dans lequel la holding UMMC est véritablement positionné est l’exploitation du cuivre. Toutefois, cela ne l’a pas empêché de varier très tôt son secteur d’activité en intervenant également dans l’exploitation des métaux précieux. Il œuvre aussi dans la métallurgie et le secteur minier.

La société UMMC s’occupe du ravitaillement en matières premières de diverses entreprises dans de nombreux domaines comme la joaillerie, les transports, la téléphonie mobile, la radioélectrique, la monnaie, l’automobile et la santé.

Aujourd’hui le groupe UMMC est un acteur important et mondialement connu dans le domaine de l’exploitation des richesses naturelles. Tout cela parce qu’il est omniprésent dans différents domaines. Cette société composée de 40 firmes est sous la direction d’un des plus puissants milliardaires russes : Islander Makhmudov.

UMMC : un groupe qui se veut nationaliste

Toute société russe qui souhaite se positionner mondialement devrait prendre pour exemple la holding UMMC. En effet, cette dernière a eu du succès, car elle a entrepris très tôt de se positionner autour de l’exploitation des ressources nationales. Ainsi, dès le départ, la holding est sortie du lot en exploitant l’abondance en matières premières de son pays. Ensuite, elle a suivi une politique de diversification, ce qui a entraîné le succès qu’on lui connaît aujourd’hui. En d’autres termes, le groupe n’a pas hésité à varier son activité. Il est devenu un leader de la chaine d’exploitation des ressources naturelles. Tout cela depuis l’extraction jusqu’à l’obtention du produit fini.

Actuellement, la holding UMMC regroupe 40 entreprises et dispose de 80 000 employés. Elle a des sièges dans plusieurs villes russes. Même si l’essentiel de son activité se déroule notamment dans la Sibérie et l’Oural.

Par ailleurs, l’entreprise a réussi à s’approprier les réalités de son époque. Il développe aussi un regard détourné d’un capitalisme démesuré. Aussi, avec ses dirigeants, elle entreprend régulièrement des actions philanthropiques à l’endroit des associations et œuvres caritatives.

Également, la holding UMMC se veut être une entreprise respectueuse de l’environnement. Tout en apportant un soutien financier dans l’organisation des activités sportives et culturelles. De plus, elle adopte une forte politique de valorisation de son personnel.

Le groupe UMMC est actuellement l’un des plus gros contributeurs dans la bonne santé économique de la Russie. Déterminé, il n’a de cesse d’améliorer sa politique d’expansion. Cela devrait très bientôt faire de lui un acteur incontournable de l’exploitation minière dans le monde.

Les comptes courants d’associés, une bonne source de financement pour entreprise

Les comptes courants d’associés sont destinés à contenir les fonds que les associés d’une entreprise attribuent au fonctionnement de cette dernière. Ces fonds sont considérés comme des quasi-fonds propres, car ils ne restent sur les comptes que pendant une période donnée. Ceci explique d’ailleurs qu’ils soient enregistrés au sein des dettes du passif.

Les comptes courants d’associés appartiennent exclusivement aux associés. Aussi, d’après la loi qui encadre les opérations bancaires, seuls les associés peuvent réaliser un prêt à l’entreprise. Toutefois, cette règle ne s’applique pas à toutes les entreprises. Par exemple, les entreprises individuelles où les comptes d’exploitant ne peuvent garder qu’à court terme les différents apports du chef d’entreprise uniquement, ne sont pas concernées.

Enfin, sachez qu’en cas de crise (non extrême), les détenteurs de comptes courants d’associés sont remboursés. Ils sont automatiquement traités comme des créanciers chirographiques.