Garantir la bonne qualité de l’air : les bons gestes à adopter au quotidien

La qualité de l’air que nous respirons a une incidence directe sur notre bien-être et notre état de santé. C’est surtout le cas lorsqu’on se trouve dans des espaces clos (ex. : bureau, établissement scolaire, établissement de santé, chez soi). Justement, l’air à l’intérieur n’est pas aussi pur que celui de l’extérieur. Il peut en effet contenir plusieurs types de polluants tels que l’humidité, les produits d’entretien ou encore la poussière. Pour optimiser la qualité de l’air que nous respirons quotidiennement, quels gestes devons-nous donc adopter ? C’est ce que nous allons voir dans les lignes qui suivent.

1.      Solliciter l’aide d’un professionnel du domaine

Respirer un air pollué peut avoir des conséquences néfastes sur notre santé. En effet, divers facteurs peuvent être à l’origine de sa mauvaise qualité. Entre autres, on pourra citer :

  • les composés organiques volatils (COV) comme le formaldéhyde, l’azote de chlore ou le benzène ;
  • Les moisissures qui sont dues à la présence excessive d’humidité,
  • La présence humaine.

Pour assurer la santé des occupants et afin de se conformer aux règlementations en vigueur, des mesures devront ainsi être prises pour assainir l’air intérieur. Pour cela, il est conseillé prendre contact avec ISPIRA, expert en qualité de l’air.

En effet, ce professionnel propose une panoplie de services pour améliorer la qualité de l’air intérieur. En l’occurrence, il s’agit de solutions concrètes et efficaces, mais avant toutes interventions, cet expert prend le temps de réaliser un diagnostic de la qualité de l’air. Pour ce faire, il utilise des dispositifs spécifiques lui permettant d’identifier et de quantifier les polluants dans l’air. Les mesures à prévoir varieront ainsi en fonction des résultats de ce diagnostic.

2.      Assurer une bonne aération et ventilation des locaux

Il est important de renouveler l’air intérieur grâce à une ventilation efficace. En effet, les bâtiments construits récemment diffèrent de ceux bâtis il y a de cela quelques de décennies en termes d’étanchéité à l’air. Pourtant, trouver le bon équilibre entre une isolation optimale et une bonne ventilation n’est pas toujours évident. Pour préserver la bonne qualité de l’air intérieur, il est de ce fait primordial d’aérer les locaux en ouvrant les fenêtres pendant au moins 15 minutes, deux fois par jour.

En outre, il est vivement recommandé de mettre en place un système de ventilation mécanique contrôlée (VMC), en particulier pour les bâtiments professionnels bien isolés. Pour cette opération, l’idéal est de contacter un expert en qualité de l’air. Néanmoins, un tel appareil nécessite un entretien régulier pour préserver son efficacité. En outre, cela prévient l’accumulation des polluants.

3.      Vérifier constamment le taux d’humidité

Comme il est dit plus haut, l’humidité excessive est l’un des facteurs favorisant l’apparition des moisissures. Pourtant, un bon système de ventilation ne permet pas à lui tout seul d’éradiquer ce phénomène. Afin de prévenir les remontées capillaires et les infiltrations d’eau, il faudra traiter les problèmes d’humidité à leurs sources. À ce titre, il faudra vérifier qu’aucune fuite ou infiltration n’est présente dans les locaux. C’est en particulier le cas des pièces humides comme la salle de bain.

En outre, il est important d’installer un dispositif mesurant constamment le taux d’humidité dans l’air. Des mesures adéquates pourront ainsi être prises en cas d’excès.

En bref, pour assainir l’air que nous respirons à l’intérieur des locaux, la meilleure solution est de faire appel à un expert du domaine. Afin de garantir une bonne qualité de l’air, ce professionnel peut en effet conseiller diverses solutions allant du diagnostic approfondi, en passant par la mise en place d’un système de ventilation et d’aération efficace jusqu’à la pose d’un dispositif mesurant le taux d’humidité. Dans tous les cas, il faudra penser à lui demander un devis des travaux avant son intervention.